Kommentar | Die Information in dem Buch des Goethe-Instituts ist vermutlich falsch. Nach meinem Etym. Wb. (Gamillscheg) stammt das frz. "vasistas" aus dem 18. Jahrhundert! Wie der folgende Auszug aus dem TLFI zeigt, haben das Wort auch schon Stendhal und Flaubert benutzt:
A. Vieilli. Panneau mobile qui s'adapte à la portière d'une voiture. Souvent, on était en marche, lorsque son chapeau, d'un mouvement brusque entrait dans la diligence par le vasistas, tandis qu'il se cramponnait, de l'autre bras, sur le marchepied, entre l'éclaboussure des roues (FLAUB., Mme Bovary, t. 2, 1857, p. 116). B. CONSTR. Petit vantail vitré, pivotant sur un de ses côtés, ménagé dans une porte ou une fenêtre, et que l'on peut ouvrir indépendamment de celle-ci. Fermer un vasistas. Le boudoir de Mme Le Grand (...) avait une belle fenêtre sous les arcades de Rivoli et un vasistas sur l'escalier (STENDHAL, Lamiel, 1842, p. 181). C'était (...) une pièce longue, étroite, mal éclairée par un vasistas trop haut placé, où l'électricité brûlait toute la journée (SIMENON, Vac. Maigret, 1948, p. 67). Prononc. et Orth.: [vazistas]. Att. ds Ac. dep. 1798. Étymol. et Hist. 1760 constr. (Comptes de la duchesse de Mazarin ds R. anecdotique, t. 16, janv.-juin 1892, p. 411). Déformation de l'all. was ist das?, littéral. « qu'est-ce que c'est? », nom donné p. plaisant. à cette ouverture par laquelle on peut s'adresser à quelqu'un; cf. un Wass-ist-dass (1776, MORAND, Mém. sur les feux de houille, 2 ds QUEM. DDL t. 3). Fréq. abs. littér.: 73. Bbg. COLOMB. 1952/53, p. 94, 121, 548. EWFS2, p. 884. GIESE (W.). Lexicologisches. Mél. Baldinger (K.). Tübingen, 1979, p. 680. GOHIN 1903, p. 330. QUEM. DDL t. 3.
Laut meinem Brockhaus entwarf G.A. Zédé erst 1888 ein frz. U-Boot, un das erste brauchbare U-Boot (mit Elektromotoren) soll der Ire Holland 1898 gebaut haben. |
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