Grossbouff, mon propos n'était que politique.
La liberté est un but, un objectif, pas une variable d'ajustement.
Face à l'actualité imprévue, le politicien est chargé de faire en sorte que les libertés soient assurées, en sacrifiant autre chose. Y compris la santé, y compris la vie !
On nous dit être en guerre, et c'est la raison invoquée pour gouverner en "conseil de défense" secret. Eh bien en temps de guerre, on met en jeu son temps, sa fatigue, sa santé et sa vie pour garder sa liberté.
Face à un ennemi menaçant nos vies, on ne s'arrête pas, on n'attend pas que ça cesse, on ne claquemure pas. On assume la menace, on avance contre lui, et on l'arraisonne ou le détruit.
"La liberté ou la mort"... Mieux vaut mourir libre que vivre esclave ou détenu.
Envoyer des hélicoptères à 1690€ de l'heure pour interpeller une personne isolée bronzant dans une crique, est une politique qui n'a rien de sanitaire. Simultanément, les soignants de l'hôpital coupaient des sacs de poubelle pour se faire des blouses de fortune, faute d'en recevoir de leur ministère de tutelle !
Ta dernière phrase est choquante. Non, on ne sacrifie personne (et la population n'est pas un bétail dont le spoliticiens seraient propriétaires !!). Par contre, dans toutes les sociétés et toutes les époques, les vieux se sacrifient eux-mêmes pour les jeunes. Les parents se sacrifient pour leurs enfants. Naturellement. Sans ordres pour le faire.
Et pour ce qui est de l'argent, jamais une Société n'a pris des centaines de milliards de dettes sur plusieurs générations pour prolonger un peu ses vieux. On s'endette pour investir, pour l'avenir, en faveur de ceux qui rembourseront (les enfants).
Au cours de la pandémie, le ministre a supprimé 5700 lits d'hôpital. Or les restrictions générales ont été déclenchées et justifiées par la saturation des hôpitaux. Les conditions des restrictions ont donc été créées de toutes pièces par le ministre.
La population est donc quadruplement victime de la mauvaise politique.
La préparation était très faible, des moyens préparés ont été détruits.
Elle a été malade et a perdu des membres. Elle a été déshumanisée (interdiction des cérémonies de sépulture etc)
L'économie a été massacrée. Et on lui a collé contre son gré des centaines de milliards de dettes supplémentaires.
Ca n'est pas fini, la mauvaise politique continue:
En renvoyant 300.000 soignant non-vaccinés, les hôpitaux sont obligés de fermer des chambres, faute de personnel ! 20% des lits restants encore après toutes les fermetures des années passées sont aujourd'hui vides, alors que les listes d'attente de soins s'allongent (opérations reportées en 2020...).
Les soignants déjà en grève en 2017-2019 sont, faute des 300.000 collègues manquants, encore plus surchargés. Ils sont en burn-out, ou changent de métier !
Or un lit vide doit être supprimé, c'est la loi (!).
Cette politique organise méthodiquement que la prochaine vague ou la prochaine maladie/crise soit encore pire.
Je maintiens donc à raison, que les auteurs de cette politique sont malfaisants, parasites et nuisibles.