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  • Betreff

    nantir/munir

    Quellen
    Gibt es einen Unterschied zwischen nantir und munir?
    Kommentar
    Vielen Dank im voraus
    Verfasser soltani (783871) 13 Jun. 22, 12:22
    Kommentar

    Ja.

    Attention à ne pas confondre nantir et se nantir de,



    Le premier sens de nantir est verpfänden. Je crois que ça nous vient du Normand et pourrait être de la famille de "nehmen". Se nantir de est un peu comme "se sécuriser", "se renforcer".


    Munir, c'est donner des moyens. Ce peut-être des moyens de défense (die Munitionen !) mais pas forcément.

    Munissez-vous de vos cartes de réduction...

    #1VerfasserRetroloc (1323950) 13 Jun. 22, 12:56
    Kommentar

    Dazu auch :


    https://www.dictionnaire-academie.fr/article/...

      NANTIR conjugaison verbe transitif

    Étymologie : xiiie siècle. Dérivé de l’ancien français nant, « gage, caution », lui-même issu de l’ancien scandinave nam, « prise de possession ».

    1. Marque de domaine : droit. Vieilli. Munir d’un nantissement, donner des gages pour sûreté d’une dette. Cet homme ne prête point si on ne le nantit auparavant. Ce créancier est nanti.

    ▪ Pron. Il n’a rien perdu dans cette affaire, il s’était nanti de gages sûrs, ou, absolument, il s’était nanti. Se nantir des effets d’une succession, s’en saisir comme y ayant droit, s’en emparer par précaution, quitte à les remettre à la masse des biens à partager.

    2. Pourvoir quelqu’un d’un bien, d’un revenu. Il avait nanti son fils de quelques terres. Nantir les membres de sa famille. Pron. Fam. Il s’est nanti, bien nanti, il a amassé une fortune.

    ▪ Par extension. Munir, pourvoir de quelque objet utile. Nantir quelqu’un de renseignements, de documents. Pron. Je me suis nanti de devises pour ce voyage.

    ▪ Fig. Nanti de cette assurance, il n’a plus hésité. ...


    https://www.dictionnaire-academie.fr/article/...

     MUNIR conjugaison verbe transitif

    Étymologie : xive siècle. Emprunté du latin munire, « fortifier, protéger », lui-même dérivé de mænia, « murailles ».

    1. Garnir quelque chose de ce qui est nécessaire ou utile en vue de tel ou tel objet. Munir une porte d’une serrure. Spécialement. Munir une ville, une place forte, les pourvoir de tout ce qui est nécessaire pour leur défense, leur approvisionnement.

    2. Pourvoir quelqu’un de ce qui pourra lui être nécessaire ou utile. Munir quelqu’un de vêtements chauds, d’argent, d’une lettre de recommandation. Il est parti muni d’instructions précises. Pron. Se munir d’une pièce d’identité. Munissez-vous de tout ce qu’il faut pour un long voyage. Fig. Se munir d’arguments pour une discussion. Se munir de patience, de courage.

    ▪ Spécialement. Il est mort muni des sacrements de l’Église, en ayant reçu les derniers sacrements, c’est-à-dire la pénitence, l’eucharistie et le sacrement des malades. ...



    ... und zur Etymologie heißt es hier weiter :


    https://www.cnrtl.fr/definition/nantir

        NANTIR, verbe trans.

     ... Prononc. et Orth.: [nɑ ̃ti:ʀ], (il) nantit [-ti]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 1255 nantir (les pleges) «saisir (les garants)» (doc. ds Morlet, p.78); 2. 1283 nantir (les letres) «déposer (les lettres) auprès de quelqu'un» (Philippe de Beaumanoir, Coutumes Beauvaisis, éd. A. Salmon, §1078); 3. 1495 nantir (un créancier) «mettre (un créancier) en possession d'un gage pour sûreté de sa dette» (Coutumes de Ponthieu, art.154 ds Nouv. coutumier gén., éd. C. A. Bourdot de Richebourg, t.1, p.99: si aucun créditeur est nanty par son debteur d'aucun gage); 4. a) 1572 nanti de qqc «pourvu de quelque chose» (Amyot, De la vertu morale, I ds Littré); b) 1694 se nantir de qqc. «se munir, se pourvoir de quelque chose, par précaution» (Ac.); c) 1823 trans. (Las Cases, Mémor. Ste-Hélène, t.1, p.489); 5. a) 1785 nanti adj. «riche» (Beaumarchais, Mariage de Figaro, vaudeville, p.370); b) 1922 subst. «personne riche» (L. Daudet, Sylla, p.212). Dér. de l'a. fr. nant «gage», refait sur nans, plur. de nam (ca 1150, Lois Guillaume, éd. J. E. Matzke, § 44), empr. à l'a. nord. nam «prise de possession» (FEW t.16, pp.596-597). ...


    https://www.cnrtl.fr/definition/munir

        MUNIR, verbe trans.

     ... Prononc. et Orth. : [myni:ʀ], (il) munit [myni]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Ca 1330 « pourvoir d'une protection, protéger » munir des gantelès (Guillaume de Digulleville, Vie humaine, 4178 ds T.-L.); ca 1350 fig. (Gilles Li Muisis, Poésies, I, 41, ibid. : Qui n'iert par repentir munis, De Dieu serra ciertes punis); spéc. 1530 « fortifier (un château, une place) » (Lefèvre d'Etaples, Bible d'apr. FEW t. 6, 3, p. 222a); 1552 (Est., s.v. munitor : Qui fortifie et munit); 2. p. ext. 1588 « pourvoir de ce qui est nécessaire » (Montaigne, Essais, II, XII, éd. A. Thibaudet et M. Rat, p. 435). Du lat. munire « faire un travail de maçonnerie, construire; fortifier; protéger, abriter », se munire fig. « se fortifier contre quelque chose ». Fréq. abs. littér. : 802. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 324, b) 1 166; xxes. : a) 1 017, b) 1 041....


    #2Verfasser no me bré (700807) 13 Jun. 22, 13:22
    Kommentar
    Vielen Dank
    #3Verfasser soltani (783871) 14 Jun. 22, 07:42
     
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