hier noch der vollständige Eintrag (wg. der Synonyme interessant):
http://www.duden.de/rechtschreibung/frotzelnfrotzeln
- Wortart: schwaches Verb
- Gebrauch: umgangssprachlich
- Worttrennung:
frot|zeln
- Bedeutungen
mit spöttischen oder anzüglichen Bemerkungen necken
spöttische oder anzügliche Bemerkungen machen
- Synonyme zu frotzeln
ärgern, bewitzeln, foppen, hänseln, sich lustig machen über, necken, seinen Scherz/Spott treiben mit, veralbern, verspotten, verulken, zum Besten haben/halten; (österreichisch) tratzen; (umgangssprachlich) anfrotzeln, anpflaumen, anulken, auf den Arm nehmen, auf die Schippe laden/nehmen, aufziehen, hochnehmen, verjuxen, veruzen; (süddeutsch) trätzen; (landschaftlich) zecken, zergen
schäkern, scherzen, Spaß/Späße machen, spaßen, spötteln, ulken, witzeln; (umgangssprachlich) flachsen, uzen; (landschaftlich) häkeln
- Herkunft
Herkunft ungeklärt, vielleicht zu: Fratzen , ↑Fratze
- Grammatik
schwaches Verb; Perfektbildung mit »hat«
- Bedeutungen und Beispiele
mit spöttischen oder anzüglichen Bemerkungen necken
Beispiel
jemanden [wegen etwas] frotzeln
spöttische oder anzügliche Bemerkungen machen
Beispiel
sie frotzelten gern über ihn
http://www.cnrtl.fr/definition/taquinerA. − [Le suj. désigne une pers.]
1. [Le compl. d'obj. désigne une pers.] Contrarier par jeu et malice quelqu'un par des gestes ou des paroles sans importance mais répétés; provoquer quelqu'un par jeu pour lui faire perdre son calme. Synon. agacer, asticoter (fam.), faire enrager, mécaniser (pop., vx), tracasser.Lorsque Lazare la négligeait un instant (...), elle devenait si malheureuse, qu'elle se mettait à le taquiner, à le provoquer, préférant le danger à l'oubli (Zola, Joie de vivre, 1884, p. 942).Il était taquin. C'est parce qu'il avait de l'amitié pour ma mère qu'il exerçait de préférence sur elle son humeur contrariante. On ne taquine que ceux qu'on aime (A. France, Vie fleur, 1922, p. 471).
♦ Taquiner qqn au sujet de, sur qqc. Il la taquinait sur sa paresse et lui faisait d'affectueuses agaceries (Rolland, J.-Chr., Matin, 1904, p. 210).
− Empl. abs. Il ne fait que taquiner (Ac.1798-1935).C'est parce que j'attends, Que j'aime à taquiner; ça fait passer le temps (Ponsard, Honn. et argent, 1853, II, 3, p. 25).
− Empl. pronom. Réfl. (rare). Je suis d'un caractère taquin, voyez-vous, et je... j'ai l'habitude de me taquiner. Mais je... je ne peux pas me taquiner sans répit: là-bas il y avait les nuits. Je dormais (Sartre, Huis clos, 1944, 1, p. 118).Réciproque. Bernard et Peters se montrent bourgeois égrillards, qui disent beaucoup de polissonneries, et se taquinent mutuellement, au sujet de leurs femmes (Rolland, Beethoven, t. 1, 1937, p. 584).