Schikanieren als Äquivalent für
bizuter ist zu weit gegriffen, das ist richtig. Ein Lehrherr kann seinen Lehrling, ein Lehrer seine Schüler (oder umgekehrt, wenn's schlecht läuft), Eltern können ihre Kinder schikanieren und es handelt sich mitnichten um eine
bizutage.
Allerdings halte ich "jdn einer Mutprobe unterziehen" auch für falsch, siehe den in # 1 verlinkten Faden. Ich weiß nicht, was Misshandlungen oder Demütigungen mit Mutproben zu tun haben.
«Exhibitions». Le bizutage avait eu lieu les 11, 12 et 13 septembre lors du «week-end d'intégration» des nouveaux, en première année. Les faits reprochés sont assez typiques du genre: tonte des cheveux d'un élève; scènes d'«exhibitions de fesses en groupe ou isolément»; exécution de pompes en chantant «j'encule les tantes et j'aime ça»; organisation d'une chenille, chaque étudiant prenant la main du suivant après s'être passé le bras entre les cuisses et avançant en chantant: «j'ai quelque chose de pointu qui me rentre dans le cul qui m'empêche de marcher»; doublage par deux étudiants, bras liés, d'une séquence de film porno et organisation d'un «relais rosé» (boire le maximum de verres de rosé en un minimum de temps).
http://www.liberation.fr/societe/0101264769-j...Das TLFi und andere WBer greifen auch zu kurz, wenn sie nur von Schule und Universität reden, es gibt die
bizutage auch anderswo - beim Militär z. B. oder Vereinen, dort, wo Neue aufgenommen werden können.
bizuter = jdn einem (oft schikanösen) Aufnahmeritual unterziehen